Engagement Pour le Troisième Aéroport d'Istanbul
Le contrat pour le troisième aéroport d'Istanbul a été signé en Turquie. Cette installation va rejoindre deux autres transportant des passagers au centre régional. Actuellement, le principal établissement de l'Aéroport international, Atatürk, est sur la rive européenne du Bosphore. Une deuxième installation de l'aéroport, Sabiha Gökcen, est sur la rive asiatique. La nouvelle installation devrait être le plus grand du monde, quand en pleine activité, avec une capacité totale de 150 millions de passagers par an.
L'installation devrait comprendre plusieurs pistes, voies de circulation, ponts pour passagers d'avions, ponts pour passagers et un tablier de 6,7 millions de mètres carrés. L'aire de trafic aura une capacité de 500 avions. D'autres équipements seront liés à ce regroupement.
La principale destination et point de départ du transport aérien actuellement, Atatürk, devrait être progressivement supprimée, à mesure que la nouvelle installation sera agrandie. Il n'y a pas de délai pour atteindre la pleine capacité. Atatürk n'a que deux pistes mais possède un terminal vieux de dix ans. Les développeurs prévoient de compenser le favori actuel pour une utilisation réduite.
Le troisième aéroport d'Istanbul est situé dans une partie de l'Europe et de la Mer Noire.
On s'attend à ce que le nouveau projet de transport aérien emploi plus de 100.000 personnes, ce qui est un objectif positif pour toute situation économique. Le gagnant de l'offre pour superviser le projet sera l'entreprise ou le groupe avec la promesse de loyer la plus élevée. Un certain nombre de groupes ou d'entreprises devraient être en lice pour le projet, qui devrait coûter plus de dix milliards d'euros. Les autorités s'attendent à une augmentation remarquable des prix de l'immobilier à Istanbul.
Les emplois semblent bons et la croissance du trafic aérien dans la région est prometteuse, cependant, l'emplacement du nouvel aéroport a attiré l'ire des écologistes. Il semble que la région compte de nombreuses carrières qui auraient besoin d'être comblées, à un coût élevé. La superficie est en grande partie couverte de forêts importantes, ce qui pose problème aux écologistes, préoccupés par l'empreinte écologique du projet du troisième aéroport d'Istanbul.